C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui.» Lisez « Mal de pierres » de Milena Agus disponible chez Rakuten Kobo. Milena Agus, que l'on imagine écrivant sagement dans un coin de sa Sardaigne, fait de l'entourloupe du grand art - de la littérature. Jespère que tu y trouveras plein de choses passionnantes ! 15,00 € Il me fait ça depuis quelques jours et j’ai un mal fou à le restaurer !! Traduit de l’italien par Dominique Vittoz, Liana Levi, 124 p., 13 €. Le monde imaginaire de Calvino où des doigts coupés indiquent la route à suivre, où les lépreux vivent heureux a pourtant toutes les couleurs du réel Et le Vicomte pourfendu prouve avec brio que la vertu comme la perversité absolues ... »  L’arrivée de la guerre et la démobilisation de ce Grand-père providentiel lui a permis d’échapper à  l’asile pour « calmes » où voulaient la placer ses parents, las de ses tentatives de suicide et autres bizarreries qui jetaient la honte sur cette famille respectable et respectée. Quel Comme son unique enfant, l'amour se fera attendre. On aurait pu rester dans la douceur, même désordonnée, du reste du livre. D'ailleurs, je me suis posée la question de l'intérêt de ce livre et de sa présentation. 11/03/2009 16:47, Merci. Peut-être qu’avec le succès de Mal de Pierres, ils l’ont ressorti!! C’est au cours d’une cure pour traiter son «mal… Il fait la part belle à la littérature italienne puisque deux d'entre eux viennent de la péninsule (Milena Agus, sarde, et Antonio Tabucchi, né à Pise). Un véritable bijou servi par une écriture délicieusement irrévérencieuse. !^^J’irais voir à l’occasion, je peux regarder sur P….R où j’ai mes habitudes, sait-on jamais ?? J'ai également commencé hier soir "L'église des pas perdus". Sa modestie est touchante, elle refuse les paillettes et déteste les Clubs qui polluent la Sardaigne ; considère que l’argent gagné avec ses livres est comme un cadeau de Noël ! Mais le livre reste dans ma bibliothèque alors qui sait, dans 3 ou 4 ans ??? Ton billet me fait penser qu’il faudrait que je tente autre chose de cette auteur. J’ai beaucoup aimé « mal de pierres » parce que c’est l’histoire d’une femme différente des autres à une époque où être différente était encore plus difficile que de nos jours … Elle aspire à l’Amour avec un grand A, à trouver sa place dans une société trop conventionnelle et elle n’y arrive que dans le rêve …, C’est pour cela aussi que j’ai beaucoup aimé ! Mal de Pierres - la critique du film. Après " Battement d'ailes ", Milena Agus poursuit sa route d'écrivain avec une nouvelle inédite, " Mon Voisin ". Le livre du film réalisé par Cyril Dion et Mélanie Laurent. Un voyage dans dix pays, des dizaines de solutions pour construire le monde de demain. Avec ce court roman, l’écrivaine sarde a réalisé un des plus beaux contes de fée de l’édition de ces dernières années. La 4e de couverture indique : La ville de Catane, en Sicile, au début des années 30. L'idée maîtresse du livre, dont les dernières lignes donnent la clé, est que la folie est mortifère tant qu'elle est considérée comme un handicap, contenue ou forcée à se conformer ; elle devient féconde, réellement féconde, quand l'imaginaire envahissant d'une personne trouve un sujet de dilection autour duquel se cristalliser, et un art pour s'exprimer. Dévote mais pas bigote, L’implorant de LUI pardonner de ne pas avoir été assez bonne en retour d’un amour qu’elle pensait ne pas mériter. Milena Agus écrit pour raconter « la vie, pitoyable et comique, misérable et merveilleuse, sans mièvrerie et avec ironie » C'est exactement de cela qu'il s'agit dans ce « Mal de pierres ». ?^^ Tu n’as peut-être pas vu (je passe du coq à l’âne) mais Livvy a mis lapin dans la liste de mots imposés bien que tu n’aies pas laissé officiellement de commentaire. Résumé. ), sauf pour des parties « sexe » très hot, même si elles ne sont décrites qu’en une page et quelques lignes, on imagine très bien la vie de ces deux là : elle, s’en voulant de ne pas aimer un homme aussi bon car il l’est et nous éprouvons d’emblée de la sympathie pour Grand-père et lui s’éclatant au bordel la plupart du temps, sauf quand elle « fait » comme les filles qu’il va voir. Elle ignore en effet que la vieille couturière est, pour tous ses concitoyens, l’ accabadora, la « dernière mère ». Entourée de jeunes hommes qui pourraient demander sa main, l’héroïne tarde pourtant à trouver un mari car elle rêve de l’amour idéal. Comme toi, je l’ai lu d’une traite et j’ai adoré. tante christine Elle finira par épouser un veuf, qui la prend comme elle est, pour sa beauté aussi. ! !^^, Le Hangar est une communauté littéraire et artistique qui a pour but de réunir des lecteurs, des amateurs d’art, des artistes et des écrivains en herbe à travers les différents articles où se mêlent critiques littéraires, cinématographiques, musicales mais aussi – et surtout ! Il règne dans ce livre un désordre chronologique, hierarchique, géographique, temporel... Bref, un imbroglio qui fait que moi lectrice, j'ai passé mon temps à me dire : "Bon, qui c'est celle ci et lui, de quelle génération"....Bref, je suis passée tout à fait à côté l'intérêt de cette histoire. Et je le rappelle, ce n'est que mon humble avis ! L’image du souvenir. La narratrice nous détaille la vie de ses grands-parents, un couple atypique uni par un mariage de convenance. Et cette grand-mère « différente », est atteinte des deux, l’un servira à excuser l’autre et sa vie de « gentille folle » en sera à jamais marquée. C'est en écrivant un roman que grand-mère est rendue à la vie... Astrid de Larminat - Avec ce court roman, l’écrivaine sarde a réalisé un des plus beaux contes de fée de l’édition de ces dernières années. Géraldine Au fil des textes, elle poursuit sa route d'écrivain, singulière et libre. Avec l'Eglise des pas perdus, tu vas changer d'ambiance ! Parce que l'amour, justement, est si important (sûrement la chose la plus belle du monde) qu'il ne pourra jamais être celui que l'on vit soi-même. À travers le cri d’une femme enfermée dans le “Bâtiment de pierre”, Asli Erdogan dénonce la torture et les violences policières que fait subir le gouvernement turc à ses opposants. Depuis la nuit des temps, les hommes et les femmes s'aiment d'amour, quelle que soit la différence. » Philippe Labro Classicisme pur de l'écriture, romantisme très moderne du sujet, suspense psychologique constant, densité humaine des ... Ce bref roman, son deuxième en Italie, a quelque chose de la pierre, en effet : compact, lisse en apparence et cependant plein d'anfractuosités, de retenue, de secrets. Cela fait sept ans que le corps de Teddy, le jeune fils de l'écrivain voyageur George Gates, a été repêché dans la rivière. Même si je me suis un peu ennuyé, je conçois que ce Mal de Pierres ait rencontré son public, passionné par la vie de cette grand-mère, malheureuse comme des pierres. Le mal de pierres ne désigne pas seulement les coliques néphrétiques, ces cailloux douloureux qui vrillent les reins, mais un mal indéfinissable et tout aussi minéral qui ronge l’âme de la grand-mère de la narratrice, le mal d’amour ou plutôt de manque d’amour. Entre splendeur et cruauté, une fresque puissante qui nous emporte dans un monde disparu. « Une réussite à la fois savante et populaire. » Bernard Pivot, Journal du dimanche « Un roman d'une force incroyable. » Franz- Olivier ... Enterrement demain. 08/03/2009 11:26. Moi aussi j'ai trouvé ce passage cru. « Mon voisin » est bien de Milena Agus, j’avais bien aimé, presque plus que Mal de pierre, que j’ai aimé presque après coup, en laissant la lecture ruiner. Ce succès se propage en Italie et lui confère la notoriété dans la vingtaine de pays où elle est aujourd'hui traduite. ( Déconnexion /  À trente ans, déjà considérée comme une vieille fille dans une Sardaigne qui connaît les affres de la Seconde Guerre mondiale, elle finit par épouser un homme taciturne, plus âgé qu’elle, parce que sa famille le lui impose. oh! comme quoi les gouts ,les couleurs..Et heureusement!Non? Il est vrai que plus on lit,plus on oublie vite... Parfois, je me dis mince, comment finit le bouquin que j'ai lu il y a 10 jours... c'est bizarre mais ce roman ne me dit pas trop!! L'imaginaire plus fort que la rélité... Qui se transmet le plus surement... Géraldine !^^, La « jeune fille » que je suis t’envoie son adresse sur-le-champ , Je l’ai reçue !! On verra ! Traité autrement, ce roman aurait pu être touchant, car certains passages ne manquent pas de délicatesse et d'émotion comme par exemple lors de la rencontre de la grand mère, en cure, avec le Rescapé. Accessoires inclus. 08/03/2009 11:22, Géraldine !^^ Je te l’envoie !! Réunion de deux récits inspirés de faits autobiographiques où l'auteure raconte son enfance sicilienne dans une famille de socialistes anarchistes en plein régime fasciste. 9,00 € Mal de pierres Milena Agus. J'ai assez hâte car j'ai déjà lu pas mal de bon avis dessus avant de savoir que ce livre était dans la sélection. A 30 ans, elle est déjà considérée comme une vieille fille par les siens, dans une Sardaigne qui connaît les affres de la Première Guerre mondiale. Milena Agus est de cette île qui tourne les sens. Ce récit sans doute autobiographique, d'une sensibilité à fleur de page, devient ainsi un très bel éloge de l'imagination qui a raison de la réalité, un fervent art du roman. 16/03/2009 14:31. je viens de le lire et de le "critiquer" ....j'ai adoré! Elle avait le goût des métamorphoses. Blandine Rinkel a fait une entrée en littérature très remarquée avec L’abandon des prétentions, paru chez Fayard en 2017. Le nom secret des choses est son deuxième roman. Puis, un jour, son médecin lui prescrit une cure lointaine pour qu'elle guérisse de ses calculs rénaux (son mal de pierres). La post-face, intitulée Comme une funambule, est intéressante et donne envie de faire une seconde incursion dans l’univers de Milena Agus. Peut-être n'étais-je pas assez concentrée ? This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it. Mais je préfère les remords aux regrets si le cas devait se présenter alors... Déjà remarquée par la presse italienne pour son premier roman, Milena Agus confirme ici son exceptionnel talent et sa liberté de … Personnellement, je n'ai pu m'y retrouver entre des noms de lieux que je pensais être des noms de familles, entre les différentes générations, entre les belles familles, les personnages (dont presque aucun ne possède de prénom). Le succès se propage en Italie et lui confère la notoriété dans le monde entier. 08/03/2009 12:47. mais je ne l’ai pas trouvé égal, je reste sur ma faim alors qu’il y a des passages splendides, d’autres font carrément retomber le soufflé !! JEUDIS POÉSIE 2016/2017, LAISSEZ VOS LIENS ICI ! Hébergé par Overblog, LA OU CHANTENT LES ECREVISSES, de Delia OWENS. , évoquait la vulgarité et les scènes obscènes et crues qui semblent devenues nécessaires à la littérature contemporaine. Justement, ces moments très crus n'apportent rien à l'histoire, on aurait pu rester dans la douceur (certes désordonée à mon avis), mais douceur tout de même du reste. Bon souvenir puisque je l’ai lu quasiment d’une traite (en même temps il n’est pas long!!) Et c'est en Sardaigne que l'auteur de Mal de pierres a résolument choisi de vivre, d'enseigner et de situer son récit. Une femme sarde, belle, absolue, intuitive, différente, connaît l'amour lors d'une cure thermale pour soigner son mal de pierres. » On t’attend Milena ! Cependant, elle sait relancer et là, on ne lâche plus. Déjà remarquée par la presse italienne pour son premier roman, Milena Agus confirme ici son exceptionnel talent et sa liberté de … Et vous allez goûter les mots comme on regarde un paysage, ou comme on observe un petit animal sauvage. J’ai lu en post-face de celui-ci qu’elle ne se considérait pas encore comme écrivain ! 08/03/2009 15:47, Callophrys Bonne lecture ! J'avoue que j'y vais avec autant de joie que de crainte à cause de mon élocutio,.                                                               Mon humble avis : Hum, je reste coi et pourtant, il va bien falloir que je me lance mais pas à pas, sans trop de violence... Déjà, la 4ème de couverture évoque l'écrivaine sarde dont les personnages sont sardes... Ce qui n'est pas d'une évidence première pour tout le monde. A cause enfin d'une narration en spirale, qui ne dévoile que progressivement et presque fortuitement le motif central du roman. Écrit de janvier 2004 à mai 2006. :P), Géraldine Au fil des textes, elle poursuit sa route d'écrivain, singulière et libre. les lecteurs ! Comme quoi il ne s'agit que de mon humble avis ! 08/03/2009 11:29. Le bilan est déjà assez brillant, mais l'auteur ne s'arrête pas là : la romancière aime les mensonges de la fiction et nous offre un retournement de dernière minute. Milena Agus est professeur d'italien et d'histoire et enseigne à Cagliaridans un institut technique. Je débute et c’est un boulot cette blogroll… Faudrait pouvoir se démultiplier ! Oh ben dis, si tu me donnes le lien de ton billet, je le rajoute aussi sur le mien  Dingue non ? (…) Ce que je raconte est en partie vrai et en partie inventé ». Voilà: http://lecture-sans-frontieres.over-blog.com/article-21488700.html, Géraldine